Rupture de la couche d'ozone

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La rupture de la couche d'ozone est imputable à de nombreux gaz, en particulier .

Parmi ces gaz figurent les , dont l'usage est pour environ 60% directement lié à des applications énergétiques. Il s’agit de la production , et de leur utilisation comme dans les équipements de climatisation, les réfrigérateurs et les congélateurs.

L'évaluation de la nocivité d'un gaz en termes de destruction de la couche d'ozone peut être estimée grâce à un indice surtout connu sous son nom anglais , dont la valeur est égale à 1 pour le gaz R11 qui est l’un des CFC.

Au niveau international les négociations sur le sujet de la couche d'ozone se déroulent dans le cadre du , qui a pris effet début 1989 et qui a conduit de nombreux fluides.

On peut regrouper les fluides de remplacement des CFC en trois grandes catégories : les , les fluides , et les fluides GWP.