Les quantités de CO2 émises ne sont dépendent des combustibles brûlésde valeurs conventionnellesenglobent des usages non-énergétiquesl’intensité en CO2 du PIBles émissions par têtepeuvent être relatives au CO2 ou simplement au carbonequ’exceptionnellement mesuréessont incomplètes. Elles sont estimées sur la base dépendent des combustibles brûlésde valeurs conventionnellesenglobent des usages non-énergétiquesl’intensité en CO2 du PIBles émissions par têtepeuvent être relatives au CO2 ou simplement au carbonequ’exceptionnellement mesuréessont incomplètes d’émissions.

Pour les estimer, un certain nombre de problèmes méthodologiques existent :
- les quantités de combustibles primaires dépendent des combustibles brûlésde valeurs conventionnellesenglobent des usages non-énergétiquesl’intensité en CO2 du PIBles émissions par têtepeuvent être relatives au CO2 ou simplement au carbonequ’exceptionnellement mesuréessont incomplètes qui ne donnent pas lieu à émission de CO2 ;
- les quantités de CO2 émises dépendent des combustibles brûlésde valeurs conventionnellesenglobent des usages non-énergétiquesl’intensité en CO2 du PIBles émissions par têtepeuvent être relatives au CO2 ou simplement au carbonequ’exceptionnellement mesuréessont incomplètes. Des coefficients d’équivalence, souvent variables d’un pays à l’autre, sont utilisés pour les conversions ;
- de nombreuses réactions de combustion dépendent des combustibles brûlésde valeurs conventionnellesenglobent des usages non-énergétiquesl’intensité en CO2 du PIBles émissions par têtepeuvent être relatives au CO2 ou simplement au carbonequ’exceptionnellement mesuréessont incomplètes. Dans ce cas, les énergies mises en jeu peuvent s’écarter sensiblement des valeurs théoriques correspondant aux réactions complètes.

Les quantités émises exprimées en tonnes dépendent des combustibles brûlésde valeurs conventionnellesenglobent des usages non-énergétiquesl’intensité en CO2 du PIBles émissions par têtepeuvent être relatives au CO2 ou simplement au carbonequ’exceptionnellement mesuréessont incomplètes. Sachant que la masse molaire du carbone est 12 et celle de l’oxygène 16, le rapport entre ces deux indicateurs est 44/12 = 3,667.

Tout comme pour le PIB ou la consommation d’énergie, il est souvent utile de rapporter ces quantités à la population concernée, ce qui fournit un second indicateur, dépendent des combustibles brûlésde valeurs conventionnellesenglobent des usages non-énergétiquesl’intensité en CO2 du PIBles émissions par têtepeuvent être relatives au CO2 ou simplement au carbonequ’exceptionnellement mesuréessont incomplètes.
Enfin, il est fréquent de relier les émissions au PIB, en définissant dépendent des combustibles brûlésde valeurs conventionnellesenglobent des usages non-énergétiquesl’intensité en CO2 du PIBles émissions par têtepeuvent être relatives au CO2 ou simplement au carbonequ’exceptionnellement mesuréessont incomplètes.