GWP, HTI, TEWI

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Pour évaluer la nocivité d'un gaz en terme d'effet de serre on utilise un indice nommé en français potentiel de réchauffement mondial, plus connu sous son nom anglais de . Il représente la de participer au forçage radiatif, et vaut 1 pour le CO2.

La contribution d'un gaz à l'effet de serre dépend d'une part de la quantité de ses émissions, et d'autre part de deux facteurs pris en compte dans le calcul du GWP : dans l'infrarouge et dans l'atmosphère.

Ce dernier facteur étant très variable d'un gaz à l'autre (plusieurs centaines d'années pour le CO2, entre 10 et 15 ans pour le CH4), il est nécessaire de s'accorder sur approprié. Les GWP peuvent alors être déterminés en calculant le forçage radiatif cumulé sur le HTI choisi. On retient ainsi généralement des HTI de .

Pour évaluer l’impact sur l’effet de serre d’une technologie complexe comme celles qui sont utilisées pour la réfrigération, le GWP ne suffit pas, car d'une part les frigorigènes ne sont en principe pas directement relâchés dans l'atmosphère,
et d'autre part il existe qui est dû aux émissions de CO2 correspondant à l'énergie consommée par l'installation pendant sa durée de vie.

On a donc défini un autre indice, appelé effet de serre équivalent total (ESET), plus connu sous son nom anglais de .