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(Il y a 4 réponses justes)
Les effets de la mise en application des politiques de maîtrise de la demande sont progressifs
Les économies d'énergie nécessitent toujours des investissements importants liés à la modification des équipements d'utilisation
Non : le gisement d'économies d'énergie correspond à la fois à des domaines où les gains peuvent être obtenus à coût très bas ou nul, et à d'autres où ils nécessitent des investissements importants liés à la modification des équipements d'utilisation
Les économies d'énergie résultent uniquement de la mise au point de matériels ou techniques très performants qui n'existaient pas il y a quelques années
Non : les économies d'énergie résultent à la fois de la mise au point de matériels ou techniques très performants qui n'existaient pas il y a quelques années, et de l'amélioration de l'utilisation des équipements existants
Le rythme de réalisation des économies est fonction du taux de renouvellement du parc d'équipements
Dans le secteur de l'industrie, les consommations spécifiques d'énergie ont baissé dans la quasi-totalité des branches
La réglementation thermique du bâtiment ne concerne que la consommation énergétique des logements
Non, les critères ont été renforcés et diversifiés pour favoriser le recours aux énergies renouvelables.
Il n'y a pas de limites à l'augmentation de l'efficacité globale du système énergétique
Malheureusement si : elles sont d'ordre physique, dérivant du second principe de la thermodynamique, aussi bien qu'économique, liées au coût des équipements, ou politiques du fait des contraintes imposées par la sécurité d'approvisionnement
Dans le secteur des transports, la mise sur le marché de véhicules plus économes en énergie a permis de faire baisser de 20 % environ la consommation moyenne des véhicules particuliers français à essence et des véhicules diesel
Dans le secteur des transports, la mise sur le marché de véhicules plus économes en énergie a permis de faire baisser de 50 % environ la consommation moyenne des véhicules particuliers français à essence et des véhicules diesel depuis le premier choc pétrolier
Non, seulement de 20 %
